top of page

Franz Nieler

Parcours

DSCF3890.jpg

Né à Lyon, d’une mère française et d’un père estonien, j'ai grandi dans un univers musical et multiculturel. 

J'ai eu la chance de me confronter à des secteurs d’activités variés, l’événementiel et la métallurgie notamment. J’éprouvais déjà à l’époque un attrait pour la fusion des métaux, mais je ne parvenais pas à m’épanouir dans l’univers terre à terre des chantiers et des usines. 

J'ai découvert l’univers vibratoire des bols chantants grâce à mon père, Karl Nieler, musicien d’orchestre passionné. 

Après mon premier concert donné en Hongrie avec seulement sept bols, j’ai su que je voulais emprunter cette nouvelle voie. J’ai commencé à proposer des voyages sonores à l’espace Allegria à Toulouse, ce qui m’a permis d’affiner mon approche des bols chantants.

Au fil des ans, j'ai développé une approche unique de la thérapie sonore qui intègre des instruments traditionnels tels que les gongs, les bols tibétains, les tubalophones. 

Ma démarche

DSC04957.jpg

Je ne me suis jamais épanoui dans l’enseignement classique du conservatoire, que j’ai rapidement arrêté pour emprunter un chemin d’apprentissage différent, laissant plus de place à l’intuitif et à la créativité. Le dialogue vibratoire avec les bols et gongs n’est pas tant lié à un travail technique qu’à une forme d’ancrage, d’écoute et de lâcher prise avec le mental, ce qui m'a tout de suite séduit. 

Lorsque nous prenons le temps de nous asseoir en silence et d'écouter les bols tibétains, nous nous offrons un espace pour nous reposer et nous ressourcer. Le son des bols nous guide doucement vers un état de calme intérieur où nous pouvons nous reconnecter avec notre essence profonde. C'est pour moi un rappel de la beauté et de la simplicité de l'instant présent.

Dans cet espace de silence, nous pouvons également prendre conscience des pensées et des émotions qui peuvent émerger en nous sans nous y attacher. 

Une famille d'artiste

amis-dolores-hoffmann-02.jpeg

Dolores Hoffman

Ma grand mère Dolores Hoffman est née à Saint-Pétersbourg dans une famille estono-allemande en 1937.

Diplômée du département de peinture de l'Institut d'art estonien de Tallinn, elle exerce l'art et le métier de la fabrication et de la restauration de vitraux depuis 1973.

Elle est agréée pour la restauration de vitraux XVII-XIX siècles d'importance historique.

Elle a suivi des stages pratiques de vitrail à Vilnius (Lituanie) et à Lyon (France) et a par la suite exposé en Estonie, en Finlande, en Allemagne, en France, au Danemark et en Russie.

En 1993, elle a reçu le Grand Prix de l'exposition du concours international qui s'est tenue à Lyon, en France et en 2002, elle reçoit la médaille d'honneur de Marie de la cathédrale du Dôme de Tallinn, en Estonie.

Karl Nieler

IMG_9287.jpeg

 A 14 ans, Karl rencontre le basson, fait ses études à Lyon, Genève, et Karlsruhe. Depuis 2001 il se spécialise notamment pour le contrebasson classique (copie de l’an 1800) et baroque (copie de l’an 1714).

30 ans d’écoute et de concerts à travers le monde qui lui apporteront une oreille particulièrement développé pour les sons graves. Il va ainsi créer une “dimension vibratoire”, musicalement accordée, appelée “Les Fleuves Sonores”,  composée de basson, contrebasson, trente bols tibétains, cinq gongs chinois, huit cloches tibétaines, neuf cymbales tingsha, un instrument à cordes Indien — swarmandal-tanpoura.

Lors d’une tournée en France, il interpréta son œuvre pour basson, contrebasson et 5 gongs: “El Sótano de las Golondrinas” (en espagnol: La Cave des Hirondelles), inspirée par les forces de l’érosion dans l’Est de Mexique, qui ont creusé une cave de plus de 300 mètres de profondeur. L’érosion agit à différents rythmes et peut, sur plusieurs dizaines de millions d’années, araser des montagnes, creuser des vallées, faire reculer des falaises.

En 2014, il enregistre l’album “Sound of Flower” comportant 5 titres :

— Voyage de Lumière,

— Murmure des Étoiles,

— Conversations des Arbres,

— Le Son des Fleurs,

— Les Fleuves Sonores — raga pour basson, les bols chantants, gongs, swarmandal-tanpoura.

Karl Nieler travaille occasionnellement en collaboration avec des orchestres comme Les Musiciens du Louvre, l’Orchestre des Champs-Élysées, l’Opéra de Lyon, l’Orchestre lyrique de région Avignon Provence,  l’Orchestre symphonique de Berlin, l’Académie de Vienne, l’Orchestre Baroque de Freibourg, le Concerto Köln, l’Orchestre de Chambre d’Australie.

Il intervient dans des salles de concert comme l’Opéra de Sydney, la Philharmonie de Berlin, l’Esplanade de Singapour, le Tokyo International Forum, la Musikverein de Vienne, le Concertgebow d’Amsterdam, le Tonhalle Zürich, le Festspielhaus de Baden-Baden.

Depuis 2001 il est titulaire d’un poste de basson solo à l’Harmonie de la Police Fédérale de Munich.

bottom of page